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21 mai 2021

NON NOUS NE SOMMES PAS DES FOURMIS MASQUEES ET APPLIQUEES

NON NOUS NE SOMMES PAS DES FOURMIS MASQUEES ET APPLIQUEES

1.
« Elle taquine sa plante carnivore. »
(Bernard Werber, « Les Fourmis »)

Quand on taquine sa plante carnivore, c’est-y pas dis qu’on serait un peu occupé par un alien dans l’genre végétal parasite ?

2.
Bernard Weber dans « Les Fourmis » se demande si le Déluge ce fut pas « un verre d’eau renversé par un Dieu négligent ou curieux » que donc Dieu i boit de l’eau de pluie que je me dis que si ça avait été le Dieu des ivrognes tout aurait été ivre noyé.

3.
« Non, nous ne sommes pas des fourmis masquées. »
(Bernard Weber, « Les Fourmis »)

4.
Défois quand le violon grince tout bizarre, qu’on dirait qu’le violoniste, c’est un spectre, c’est qu’l’assassin n’est pas loin de l’heure de son crime et qu’il va y avoir du meurtre dans l’histoire.

5.
L’étrange animal qui répète sans cesse J’ai une jolie petite boîte Qu’est-ce que j’y ai mis Qu’est-ce que j’y ai mis dedans ? - J’y ai mis mon cerveau J’ai une jolie petite boîte Qu’est-ce que j’y ai mis Qu’est-ce que j’y ai mis dedans ? - J’y ai mis mon chapeau » est un animal à répétition musicale qu’on appelle aussi « Le Casse-pieds, oreilles, choses ». Il est parfois accompagné d’un accordéon, d’un crincrin, ou d’une rape à crétins, ce qui le rend dangereux, voire agaçant.
La légende de la chanson macabre dit que lorsqu’on arrive à J’ai une jolie petite boîte Qu’est-ce que j’y ai mis Qu’est-ce que j’y ai mis dedans ? – J’y ai mis mon tombeau on en a tellement marre qu’on tue tout le monde.

6.
Pourquoi peut-on dire que, selon Stephen King, « La Chose d’un autre monde » est une œuvre « belliciste » ?

Si La Chose d’un autre monde est un film belliciste c’est parce que j’ai pas vu le film mais je pense que peut-être la Chose d’un autre monde, elle débarque toute chose fatale dans le nôtre (c’est un monde) pour nous y faire des misères et d’autres choses encore.

7.
Que braque « le miroir solaire [qui] se met à tourner sur lui-même » qu’évoque Stephen King page 298 de l’« Anatomie de l’Horreur » ?

Un miroir solaire tournant sur lui-même pourrait-il devenir un genre de mitrailleuse à rayons d’la mort que tout soudain serait cuit poulet rôti, avec des voitures roulant enflammées dans des rues traversées de squelettes réduits en cendres qu’ils pourraient plus marcher.

8.
De quoi parle le vieil Indien de « Prophecy » quand il dit « Ces bestioles-là sont grosses par chez-nous » ? (cf Stephen King, « Anatomie de l’Horreur »)

Peut-être le vieil Indien parle des dindes mais il sait pas que l’Amérique est menacée par une géante dinde même pas cuite (la fameuse cold Turkey) qui pourrait démolir monts, vaux, tours, détours, food, fastfood qu’on devra retourner un film de Godzilla.

9.
Pourquoi, selon Stephen King, « La Nuit des Masques », de John Carpenter, se déroule presque totalement après le crépuscule » ?

Passque sinon, ça n’aurait pas été La Nuit des Masques mais la Nuit de l’après-midi, ou même La Nuit du five o’clock ou même la Nuit de ce matin si tranquille où les masques apparurent mais Stephen King ne parle pas de Blanquer dans son livre sur l’horreur.

10.
« Puis le cadavre a ouvert les yeux et les a posés sur moi. »
(Stephen King traduit par Jean-Daniel Brèque, « Anatomie de l’Horreur »)

Défois dans les films à zombie y a des cadavres tout baveux marchant drôle avec les bras levés au-dessus de leur moitié de tête pis qui vous posent leurs yeux sur vous que vous avez du coup plein d’yeux sur qui vous suivent comme si les yeux rentraient en vous.

11.
Nullement gêné, le géant gigota et lors giclèrent jardins, donjons, jacynthes, jacuzzis, javas et jazz-bands, gigolos-gigolettes, joufflus, jaloux, jours, jobards, joujoux, jeunes gens, toutes gens, et tout ce qui d’ordinaire à ses pieds jadis s’agitait pis fut écrasé plat.

12.
Si Macron croit acheter le vote des jeunes en leur refilant 300 euros (qui viennent d’où ?) pour acheter de la « culture contemporaine » (c’est-à-dire dans bien des cas faire tourner la machine à âneries), ce qu’il se goure.

Le PassCulture, ce n’est pas une aide, c’est une subvention. Les aides, ce sont nos impôts redistribués et qui servent au nécessaire (nous sommes en crise). Les subventions non nécessaires, c’est du communisme. Ras-le-bol de Macron, c’est un affligeant cire-pompes.

Je lis que pour bénéficier du PassCulture à Macron, il faut une application, si c’est-y-pas vous obliger à adhérer à sa Start Up Nation à l’autre acheteur de voix présidentiel là, et qu’on vous force un peu à vous connecter, quoi qu’il en coûte.

Ce n’est pas d’un PassCulture octroyé par quelque Jupiter condescendant et généreux avec l’argent des autres dont les jeunes ont besoin, c’est d’un emploi. Et pour les étudiants, de bourses et de prêts étudiants. Le PassCulture, c’est de la démagogie. C’est en fait une subvention destinée à faire vendre des « productions culturelles ». C’est du (mauvais) bizness. #Démagogie

Patrice Houzeau
Malo, le 21 mai 2021.

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